Cette critique s’inscrit dans les genres de la critique littéraire (en termes de contenu), de l’épistolaire (avec la confession et l’adresse à la seconde personne « tu ») et de l’autobiographie (toujours du point de vue de la confession, et de la présence du je-narrateur). La forme choisie est, par (...)

Cet éreintement (une critique violente et malveillante, ndlr.) se présente sous la forme d’une brève de journal à la ligne éditoriale incisive. L’objectif est à la fois de convaincre le lecteur de ne pas lire La place, et de blâmer l’oeuvre ainsi que – indirectement – son auteure.
Aux niveaux (...)

La critique prend la forme d’un article de blog littéraire et philosophique. Cet article s’inscrit dans une chronique « en moins de 700 mots », dans laquelle seraient regroupées des critiques succinctes qui à la fois résument la pensée d’un livre et portent à réflexion sur celui-ci. J’ai défini cette (...)

La critique mêle les genres de la nouvelle - première partie - et du conte - seconde partie. Inspirée par l’intrigue de L’enfant bleu, elle met en scène deux infirmières en pédiatrie.

La critique prend l’allure d’un fragment autobiographique. Le travail a porté sur l’entrelacement des genres. Il a consisté à adapter le genre de la critique littéraire (résumé, sentiments éprouvés par le lecteur, etc.) à la structure narrative du récit autobiographique (présence du « moi »), soit à tisser (...)